Damné
va !
Tourne et manège
Danse !
Et s'instale sur un siège
Par ses lubies il divague,
S'arythme comme des vagues
J'ai pité de lui
Je ne comprend pas les hommes
De leurs grands artifices
Ils nourissent leurs caprices.
L'assonance d'une boite à musique
Et des danses de femmes lubriques,
Grise l'esprit batifolant
Dans le carnaval déroutant.
Je ne comprend pas les hommes
La Terre tourne bien rond,
Mais les hommes, eux, non.